SCI ViaGénérations : un placement éthique et solidaire, un pari gagnant sur la vie

Viager sans rente 100% bouquet

SCI de maintien à domicile, ViaGénérations est un fonds ouvert aux investisseurs institutionnels mais aussi distribué sous la forme d’Unités de Comptes (UC) dans des contrats d’assurance-vie initialement par AGEAS et APICIL rejoints ensuite par SwissLife et Generali. Précurseur sur le marché du viager, il défend un objectif sociétal : accompagner la transition démographique en favorisant le maintien à domicile des seniors tout en leur assurant un revenu complémentaire jusqu’à la fin de leur vie.
Mal considéré, souvent caricaturé, le viager a longtemps été perçu comme un pari sur la mort : un mode d’acquisition immobilière vivotant, opaque et finalement peu attractif. « Il y a 4 ans, en lançant ViaGénérations, nous avons dépoussiéré et transformé l’image du viager pour lui donner une image plus positive », se félicite Thibault Corvaisier, Directeur de la gestion SCI ViaGénérations chez Turgot Asset Management. Désormais, plus de lien direct entre l’acheteur et le vendeur mais un vendeur et une multitude d’acheteurs au travers de contrats d’assurance vie. Plus de rente mais un capital versé au moment de l’acte de vente et correspondant à la valeur occupée du bien. « Ce capital permet au vendeur de nourrir un projet de vie. Ce modèle est vertueux car il est transparent, lisible, compris par le vendeur et par conséquent envisageable. Pour les investisseurs, l’intérêt principal est d’acquérir des biens immobiliers de qualité, avec une décote en moyenne de 40% en nue-propriété. La SCI permet en outre de mutualiser le risque de sur-longévité. Il y a donc un réel équilibre entre l’investisseur et le bénéficiaire », poursuit-il.

Autonomie et maintien à domicile des seniors

ViaGénérations apporte une solution à une problématique sociétale bien connue : celle du financement des retraites et de la dépendance. Elle permet aux seniors de rester chez eux et de monétiser leur actif immobilier pour gagner en pouvoir d’achat. « Nous acquérons la pleine propriété de biens auprès de personnes âgées qui conservent le Droit d’Usage et d’Habitation (DUH), et nous payons la valeur occupée du bien en 100% bouquet afin d'éviter l'aléa sur les rentes et sécuriser leur situation », résume Thibault Corvaisier. Ainsi la personne âgée continue de payer l’ensemble des charges courantes, taxes foncières incluses, mais elle est déchargée du financement des gros travaux. « Nous concédons par ailleurs un droit d’usage au senior : s’il décide de quitter le bien et d’abandonner le droit d’usage, nous nous engageons à payer un complément de prix. C’est écrit et renseigné dans l’acte authentique », ajoute-t-il.
72% des personnes âgées de plus de 70 ans sont propriétaires de leur logement et 94% d’entre elles souhaitent vieillir chez elles. Mais avec l’allongement de la durée de vie et la baisse du pouvoir d’achat (en 2020, la pension de retraite moyenne est de 1 503 euros brut mensuels), certains retraités ne peuvent plus faire face aux frais médicaux croissants, à la perte d’autonomie ou à un éventuel placement en maison de retraite. Quant à leurs enfants, ils n’ont pas forcément les moyens financiers de les aider. « Aujourd’hui, on n’hérite plus de ses parents et parfois, on doit supporter le coût de ses parents chez soi, c’est la double peine », avance Thibault Corvaisier. La vente en viager apparaît donc comme une transaction immobilière réalisée dans l’intérêt de tous, une alternative innovante permettant de répondre à un enjeu sociétal majeur : l’autonomie financière des seniors et leur maintien à domicile.

Avec le concours de l’UNMI, associé fondateur

L’UNMI a soutenu le projet dès sa création en septembre 2017 avec un apport d’actif de 24 biens issus du fonds ACPA (Agir Contre la Perte d’Autonomie). La SCI ViaGénérations comptera fin 2021 près de 200 biens en portefeuille. La typologie diversifiée des biens (53% d’appartements, 47% de maisons, la moitié en Ile de France, le tiers en PACA et le quart dans le Sud-Ouest), le profil des vendeurs (83,1 ans d’âge moyen, 32% de couples, 28% d’hommes isolés et 39% de femmes isolées) montrent que le fonds répond en tous points à sa vocation sociale et sociétale.

Source

Rapport 2021 de la DREES